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Ma démarche


Elle s’inscrit dans le cadre de l’urbanisme de projet soutenu par le Gouvernement à travers plusieurs réformes, pour faciliter la réalisation de projets urbains et accompagner par la médiation tous publics sur :

− la logique de normes et de labels,
− les enjeux du Grenelle et de la transition énergétique,
− la lutte contre l’étalement urbain,
− la densification du bâti,
− la prise en compte de continuités écologiques.

Elle s’inscrit également dans le cadre de l’urbanisme négocié inspirant un concept de montage et de gouvernance pour une opération d’aménagement qui repose sur :

− une articulation partenariale entre les collectivités locales, les aménageurs et tous les acteurs du projet, dans un concept de co-construction du projet urbain
− la conduite d’un dialogue à différents niveaux de temporalité, pouvant aller de la phase pré-opérationnelle, jusqu’à la phase de chantiers et de commercialisation.


Ainsi, l’implication des usagers conduisant à la participation citoyenne dans les projets urbains apparaît de plus en plus comme un impératif sociétal. Outre l’aspect réglementaire, cette participation est devenue un nouvel enjeu de l’action publique et politique. De plus en plus de collectivités entreprennent ces dernières années des démarches participatives ambitieuses. Cette co-construction ne doit plus être envisagée comme un frein, une contrainte ou encore un additif gadget à apporter au projet si on en a le temps et les moyens, mais bien comme une nouvelle façon de faire du projet. A l’heure où les finances publiques sont en baisses et où les attentes de la société civile se font pressantes, il est indispensable d’inventer une nouvelle modalité pour fabriquer la ville de demain adaptée aux enjeux sociaux, économiques, identitaires et environnementaux.

ENJEU DE SOCIETE : UN DEFI MAJEUR A LA TRANSITION

Il ne s’agit pas d’une mode de la participation citoyenne. L’apparition de nouveaux
systèmes collaboratifs et de management de projet urbain, prend naissance à une période
transitoire de notre société. Elle s’inscrit en effet dans une société en crise qui aspire à de
plus en plus de lisibilité et de transparence et une conscience des citoyens de plus en plus
accrue des enjeux environnementaux, de la transition numérique et énergétique.
Avec la montée des incertitudes sociales, économiques et technologiques, l’intérêt public
de la planification de la ville s’impose comme un nécessaire besoin de prendre en compte
les usages au moyen de nouveaux modes d’organisation et de gouvernance des projets.

Le jeu des acteurs

Sur la base d’un diagnostic, la méthode d’approche est cousue sur-mesure et adaptée au contexte de projet, à l’économie et au jeu des acteurs locaux. Avec un rôle d’interface, le principe de cette démarche est de pouvoir créer les conditions d’une co-conception du cadre de vie en fédérant les intentions programmatiques avec les réalités économiques, les modes de vie et les aspirations de la société.

UN CONTEXTE RÈGLEMENTAIRE NATIONAL PROPICE À L’INNOVATION :

La concertation préalable a été introduite dans le cadre de la loi Grenelle puis de la loi Alur du 24 mars 2014 qui élargit le champ d’application et précise les modalités de la participation du public. Cette mesure s’applique en amont du dépôt de la demande de permis de construire ou d’aménager, pour l’élaboration ou la révision de SCOT ou PLU, la création d’une ZAC et tout projet de renouvellement urbain.
Article L103-2, créé par ordonnance n° 2015-1174 du 23 septembre 2015
Article L300-2, modifié par Loi n°2014-366 du 24 mars 2014, art. 170

REMETTRE L’ETRE HUMAIN ET LA NATURE AU CŒUR DE LA VILLE PAR UNE APPROCHE SENSIBLE DONNER DU SENS ET CREER DE LA CONFIANCE

« Développement durable, raréfaction de l’énergie, réchauffement climatique, économie numérique…
le risque est grand aujourd’hui d’assujettir les projets d’aménagement à des mots
d’ordre, à des domaines de spécialisation et donc d’enfermer les opérations d’aménagement
dans des champs techniques. Un projet d’aménagement appelle avant tout un point de vue
global, un point de vue politique sans lequel il perd de son sens »

Laurent Théry, urbaniste, préfet honoraire

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